Saiaku no Sedai : le Japon a hissé le drapeau

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C’est le Monde de surprises, elle est désormais bien établie. Cependant, ce qui est inattendu se produit dans Qatar a pris la même habitude proverbiale que le facteur : il sonne toujours deux fois. La première dans l’après-midi, lorsque le Belgique dit adieu à la phase de groupe en raison d’une « faute » de la part de l’UE. Croatie et, surtout, d’un inattendu Maroc. La seconde en prime time, au cours de laquelle l’Allemagne a subi le même sort pour la deuxième édition consécutive, mais cette fois-ci aux mains du Japon. I Samurai ont déchaîné toute leur fierté, battant même les Espagne et la relègue à la deuxième place, avec une meilleure différence de buts que l’équipe allemande.

Exultation Japon
Exultation Japon

Ce n’est pas un exploit unique, puisque Nagatomo et ses compagnons ont matato L’Allemagne elle-même au début du tournoi. De la même manière, d’ailleurs. La deuxième remontée 2-1 a ouvert la porte à l’habituel baratin footballistique. Fabriqué au Japontous les sourires, la civilité et Holly et Benji. Mais les plus observateurs n’ont certainement pas manqué un parallélisme, peut-être le plus japonais de tous. Puisque c’est impossible de séparer le Japon de son substrat culturelau risque de finir par parler de navires, de mers et de pavillons.

One Piece, la pire génération

La pire des générations

Ce que Eustass a en commun Kidd et Yuto Nagatomoà part les cheveux roux ? Et encore, ce qui lie Luffy e Droit à deux francs-tireurs comme Junya Ito et Ritsu Doan? Bien qu’elles ne soient pas familières à certains, les premières font partie d’un ensemble beaucoup plus vaste. La pire générationSaiaku no Sedai – le plus fort couvée de pirates Une pièce. Dans l’œuvre monumentale et célèbre, le maître Oda a attribué cette appellation à la génération la plus forte qui soit. E un Japon de football si formidablement concrète et impitoyable qu’on a du mal à s’en souvenir en remontant le temps.

Japon Espagne

La Coupe du monde au Japon a toujours été une terre de fortunes diverses, mais le gang des Moriyasu la bonne fortune leur est venue. Photocopier les deux matches avec Allemagne e Espagne Deux retours 2-1 ont eu lieu, comme pour punir la bravade d’un adversaire qui s’est longtemps senti supérieur. La formation de capitaine Yoshida savait attendre, redémarrer et frapper aux moments opportuns. Parfois en attirant magnétiquement la balle vers lui comme Asano avant d’être battu Neuerà d’autres moments, l’étirement caoutchouté comme Mitome pour servir Tanaka l’objectif de qualification. Des résultats inattendus, qui promettent de coller encore plus les fans, non seulement nipponicsdevant l’écran.

Musiala, Allemagne
Musiala, Allemagne

Assaut contre le gouvernement mondial

De l’autre côté de la barricade, dans la vaste mer de… Une pièce il y a le Gouvernement mondialen charge de garder les incidents de piraterie à distance. Bien qu’il s’agisse d’une organisation dont l’objectif est la justice, certaines failles du système apparaissent de temps à autre. Dans le monde réel, cela susciterait des controverses et des déductions : comme celles qui pleuvent sur le Fifa pour l’attribution de Coupe du monde au Qatar. Ce n’est donc pas une coïncidence si les meilleurs Japon de tous les temps se fraye un chemin dans le tournoi le plus médiatisé de tous les temps, dans la plus pure tradition de l’histoire de l’art. La pire génération et avec un jeu de match qui semble fait pour divertir.

Japon-exultation
Japon-exultation

Le narrateur externe de Qatar 2022 s’amuse, et beaucoup, en magnétisant chaque rebond ou conclusion dangereuse sur les pieds de Doan et coller les conclusions de l’adversaire sur les gants de Gonda. Un choix stylistique judicieux dans un tournoi qui a déjà fait de l’imprévisibilité une règle. Une règle à laquelle, toutefois, il n’y a pas beaucoup de temps pour s’habituer. La Croatie lundipotentielle troisième victime illustre de la Saiaku no Sedai par Monsieur Moriyasu et les carrefours de l’assaut pirate en bleu à la Gouvernement mondial. Rêver ne coûte rien, après tout : à suivre.